Réussir son blocus
Vous souhaitez réussir votre blocus ? Vous souhaitez être au maximum de vos capacités pour faire face à des examens ?
Le neurofeedback est la méthode qui va vous permettre d’étudier et de mémoriser efficacement et durablement. Vous allez exercer votre cerveau pour qu’il fonctionne au mieux de ses capacités. Cet entraînement va vous booster pour réussir votre blocus. Pour assurer la réussite de son blocus, l’idéal est de débuter au plus vite un entraînement en neurofeedback pour être au top de ses capacités cérébrales pour les examens.
Lutter contre le vieillissement du cerveau
Vous avez de plus en plus de trous de mémoire ? Vous avez du mal à mettre un nom sur un visage ? Vous perdez le fil dans les discussions ? Vous avez l’impression que votre cerveau vieillit ?
Ce n’est pas une fatalité. On peut lutter contre le vieillissement du cerveau. Aujourd’hui, grâce à l’une des découvertes les plus importantes des neurosciences, on sait que la plasticité cérébrale est présente durant toute la vie. Il n’y a pas d’âge pour apprendre. Le cerveau sain est comme un muscle qui se nourrit de changements et s’atrophie si l’on ne s’en sert pas.
Le neurofeedback est la méthode qui vous permet de lutter contre le vieillissement de votre cerveau en l’entrainant pour retrouver une meilleure mémoire et une attention plus soutenue.
Lutter contre le vieillissement du cerveau
Vous avez de plus en plus de trous de mémoire ? Vous avez du mal à mettre un nom sur un visage ? Vous perdez le fil dans les discussions ? Vous avez l’impression que votre cerveau vieillit ?
Ce n’est pas une fatalité. On peut lutter contre le vieillissement du cerveau. Aujourd’hui, grâce à l’une des découvertes les plus importantes des neurosciences, on sait que la plasticité cérébrale est présente durant toute la vie. Il n’y a pas d’âge pour apprendre. Le cerveau sain est comme un muscle qui se nourrit de changements et s’atrophie si l’on ne s’en sert pas.
Le neurofeedback est la méthode qui vous permet de lutter contre le vieillissement de votre cerveau en l’entrainant pour retrouver une meilleure mémoire et une attention plus soutenue.
Apprendre une nouvelle langue
Face à un nouveau défi professionnel ? Cela fait des années que vous avez envie de progresser dans l’apprentissage d’une nouvelle langue ?
Le neurofeedback peut vous aider à apprendre une nouvelle langue en entrainant votre cerveau à fonctionner au mieux de ses capacités. Lorsque l’on apprend une nouvelle langue, des aires cérébrales bien spécifiques s’activent pour comprendre et pour s’exprimer. L’exercice de ses aires peut favoriser un apprentissage d’une nouvelle langue de qualité et durable.
Comment fonctionne le neurofeedback?
Face à un écran, vous regardez et écoutez des vidéos avec des capteurs apposés sur votre cuir chevelu et vos oreilles. Comme le stéthoscope qui permet l’écoute interne du corps, les capteurs vont enregistrer l’activité électrique de votre cerveau en temps réel.
Ces informations vont être traitées directement par un logiciel très puissant afin de vous renvoyer un feedback sur cette activité. Si cette activité ne correspond pas à vos objectifs (lutter contre le vieillissement du cerveau, réussir son blocus, apprendre une nouvelle langue), la musique et la vidéo se coupent.
Grâce à ce feedback auditif et visuel, vous allez consciemment mettre en place des stratégies pour éviter les coupures.
Ce feedback est aussi une information pertinente pour votre cerveau qui va chercher des nouvelles voies neuronales pour éviter les coupures et être récompensé.
Ce n’est pas une « méthode miracle », pour obtenir des résultats, la répétition est essentielle. Il s’agit d’un apprentissage.
Il est important d’être accompagné tout au long de l’entrainement cérébral et de recevoir un feedback sur les séances pour lutter contre le vieillissement du cerveau, réussir son blocus, apprendre une nouvelle langue.
Questions fréquemment posées
Il est possible de faire un entrainement en neurofeedback avec des jeunes enfants. Dans ma pratique, les plus jeunes enfants ont environ 6 ans.
Il n’y a pas de limites d’âge pour réveiller son potentiel et pratiquer du neurofeedback. En effet, on sait aujourd’hui, grâce à l’une des découvertes les plus importantes des neurosciences, que la plasticité cérébrale est présente durant toute la vie.
Suivant la littérature scientifique, il faut prévoir entre 25 et 35 séances chez l’adulte et 35 à 45 séances chez l’enfant pour obtenir des résultats durables.
Chaque personne est unique. Aussi, il est primordial de débuter par une évaluation initiale qui permet de donner un pronostic sur l’impact du neurofeedback pour atteindre les objectifs ciblés et d’affiner l’estimation du nombre de séances nécessaires pour les obtenir.
Oui. Un entrainement en neurofeedback est plus long pour les enfants (5 à 10 séances en plus). Le cerveau des enfants est dans une période d’immense plasticité. Cependant, il faut un peu plus de temps pour activer des nouveaux apprentissages correspondant à leurs difficultés.
Selon les données de la littérature scientifique et mes observations, il faut environ de 8 à 12 séances pour obtenir des résultats significatifs. Cette estimation est toutefois relative car il arrive souvent que des améliorations soient constatées après quelques séances seulement, notamment par le simple fait que la personne ait décidé de s’attaquer à sa problématique.
Parfois on ressent de la fatigue et des maux de tête passagers pendant ou après la séance. Ils apparaissent surtout lors des premières séances, conséquences, bien souvent, du stress occasionné par la nouveauté.
Je débute toujours un entrainement en neurofeedback avec une évaluation initiale sur base d’un EEGq. Cette évaluation permet de donner un pronostic sur les chances de réussite de l’entrainement cérébral. Ce pronostic peut être soit : incertain, moyen, bon.
Cette évaluation est également une base objectivable pour mesurer les impacts de l’entrainement et réaliser un avant/après.
Cette étape est importante parce qu’elle permet de donner un pronostic (incertain, moyen, bon) sur l’impact du neurofeedback pour atteindre vos objectifs et d’estimer un nombre de séances nécessaires pour les obtenir.
Pratiquement, lors de la première rencontre, nous dressons un état des lieux de votre situation actuelle et de vos objectifs. Nous réalisons également un encéphalogramme quantitatif (EEGq). La séance dure environ 1h15.
Comme un entrainement sportif, l’entrainement en neurofeedback comporte plusieurs étapes :
- Evaluation initiale: Dresser vos objectifs et réaliser un EEGq.
- Phase de normalisation: Amorcer la normalisation de l’activité cérébrale. Cette phase est la plus longue, 12 à 18 séances sont en moyenne nécessaires.
=> Réalisation d’un EEGq pour mettre en évidence les apports de cette phase de normalisation. - Phase de généralisation: Généraliser les acquis et réaliser des sessions de transfert (càd : tâches à réaliser en ne regardant plus l’écran comme des mots croisés, devoirs, jeux…). Cette phase est plus courte. Elle comporte entre 8 et 12 séances avant de procéder au 3ème EEGq pour contrôler les avancées.
=> Réalisation d’un EEGq. - Phase de stabilisation: Stabiliser les acquis et finaliser l’entrainement. Cette dernière étape est la plus courte. Entre 5 et 10 séances sont nécessaires.
- Après l’arrêt de l’entraînement, dans la grande majorité des cas, les cerveaux entraînés continuent à évoluer positivement (phase de consolidation). Un EEGq peut être réalisé 6 mois après la fin de l’entraînement pour contrôler cette phase à votre demande. Cette évaluation vous est offerte.
L’électroencéphalogramme est une technique passive d’enregistrement de l’activité électrique du cerveau. « Passive » signifie que l’EEG n’introduit rien dans le cerveau de la personne mesurée ; cela est l’équivalent d’un stéthoscope pour l’activité du cerveau. Des électrodes sont apposées sur le cuir chevelu à l’aide d’une pâte conductrice (Ten-20), après que la peau soit nettoyée à l’aide d’un gel (NuPrep) exfoliant. La lecture de l’EEG à des fins diagnostics est un acte réservé et ne peut être fait que par un neurologue ou une personne dûment qualifiée et licenciée. C’est pourquoi dans le cadre d’un suivi en neurofeedback, seul un EEG quantitatif est réalisé. Aucun diagnostic n’est réalisé.
Non. Ni une séance de neurofeedback ni un EEGq ne fait mal.
C’est une méthode non-invasive. Rien n’est jamais introduit dans le cerveau, il n’y a pas de chocs électriques. Je vais apposer des capteurs sur le cuir chevelu avec une pâte conductrice, après que la peau ait été nettoyée à l’aide d’un gel exfoliant. Ces capteurs vont capter l’activité électrique du cerveau (microvolt) et renvoyer l’information à l’ordinateur qui va mémoriser ces informations.
Des capteurs sont également placés sur les oreilles. Certaines personnes peuvent ressentir une gêne lorsque ces capteurs sont placés sur les oreilles. Soit la gêne va vite passer, soit je vais déplacer les capteurs.
Vous restez maître de votre cerveau tout au long de l’entrainement. La technologie n’est qu’un outil pour apprendre à mieux vous connaître et réveiller votre potentiel. On peut prendre la métaphore de la voiture et de son conducteur. La voiture vous permet de vous déplacer mais elle va toujours là où vous le souhaitez.
Oui et non. Oui, cette méthode peut-être utilisée dans un cadre thérapeutique.
Non, il ne faut pas avoir un trouble pour utiliser cette méthode. De nombreuses personnes entament un entrainement en neurofeedback pour améliorer leurs performances : pour apprendre une nouvelle langue, améliorer leur mémoire, etc…
Oui. Le neurofeedback ne vise que l’activité électrique de votre cerveau. Les médicaments agissent sur les composantes chimiques du cerveau. Aussi, il n’y a pas d’incompatibilités. Cependant, si vous suivez un traitement (par exemple : antidépresseurs, psychostimulants, somnifères…), le mieux est que votre médecin traitant soit informé de votre entrainement en neurofeedback afin qu’il puisse adapter, si nécessaire, votre médication.
Bien souvent, le neurofeedback peut vous aider à diminuer la dose ou arrêter votre médication. Seul votre médecin traitant peut ajuster votre médication.
Comme pour tout entrainement et apprentissage, la répétition est nécessaire pour que de nouveaux circuits neuronaux se construisent et/ou se renforcent. Il est recommandé de s’entraîner 2 à 3 fois par semaine. Il faut un temps de repos entre 2 séances de minimum de 24 heures.
Tout d’abord, on débute par une phase d’accueil et d’écoute sur votre état du moment. Je vais vous placer les capteurs sur le cuir chevelu et vos oreilles. Et voilà, tout est prêt pour commencer l’entrainement. Vous regardez une vidéo et vous écoutez de la musique. Plusieurs sessions sont réalisées. Chacune avec des objectifs spécifiques en fonction de vos besoins. En fonction de votre objectif et d’où vous en êtes dans l’entrainement, vous réalisez des petits exercices de mémorisation, de calcul et d’observation. Une séance de neurofeedback dure 45 minutes.
Essayer de venir à la séance bien reposé. La consommation de caféine et d’alcool ont des effets sur votre activité cérébrale. Pour optimiser votre séance, il est conseillé de limiter leur consommation 6 heures avant.
Cette méthode a été découverte en 1973, aux USA, par un chercheur en recherche fondamentale de l’Université de Los Angeles, Barry Sterman, travaillant avec des chats sur un projet en collaboration avec la NASA.