Gérer le TDA/H sans médicament
Troubles Déficitaires de l’Attention avec ou sans Hyperactivité/Impulsivité
En 2012, l’Association Américaine de Pédiatrie a statué que le neurofeedback était aussi efficace que la prise de psychostimulants (Ritalin, Concerta, Equazym) pour gérer le TDA/H sans médicament.
Le neurofeedback diminue durablement les difficultés attentionnelles, l’impulsivité, l’anxiété et l’hyperactivité, ainsi que le manque de confiance en soi et permet ainsi de gérer le TDA/H sans médicament. ll arrive assez fréquemment que suite à un programme d’entraînement, les parents avec l’avis de leur médecin traitant décident de suspendre la prise de psychostimulants de leur enfant afin de gérer le TDA/H sans médicament. L’Association ADHD-ASC-Dyslexia Family Resources Brussels reprend également le neurofeedback comme méthode permettant de gérer le TDA/H sans médicament.
Gérer le TDA/H sans médicament
Troubles Déficitaires de l’Attention avec ou sans Hyperactivité/Impulsivité
En 2012, l’Association Américaine de Pédiatrie a statué que le neurofeedback était aussi efficace que la prise de psychostimulants (Ritalin, Concerta, Equazym) pour gérer le TDA/H sans médicament.
Le neurofeedback diminue durablement les difficultés attentionnelles, l’impulsivité, l’anxiété et l’hyperactivité, ainsi que le manque de confiance en soi et permet ainsi de gérer le TDA/H sans médicament. ll arrive assez fréquemment que suite à un programme d’entraînement, les parents avec l’avis de leur médecin traitant décident de suspendre la prise de psychostimulants de leur enfant afin de gérer le TDA/H sans médicament. L’Association ADHD-ASC-Dyslexia Family Resources Brussels reprend également le neurofeedback comme méthode permettant de gérer le TDA/H sans médicament.
Tenir sa concentration plus longtemps
Vous n’arrivez pas à tenir votre concentration longtemps ? Vous avez des difficultés à vous y mettre ?
Le neurofeedback entraine votre cerveau à fonctionner au meilleur de ses capacités et ainsi à tenir votre concentration plus longtemps. Face à de petits exercices cognitifs, vous allez pouvoir mieux comprendre votre fonctionnement cérébral. En vous connaissant mieux, vous allez pouvoir reprendre la main et trouver vos stratégies pour tenir votre concentration plus longtemps.
Tenir sa concentration plus longtemps
Vous n’arrivez pas à tenir votre concentration longtemps ? Vous avez des difficultés à vous y mettre ?
Le neurofeedback entraine votre cerveau à fonctionner au meilleur de ses capacités et ainsi à tenir votre concentration plus longtemps. Face à de petits exercices cognitifs, vous allez pouvoir mieux comprendre votre fonctionnement cérébral. En vous connaissant mieux, vous allez pouvoir reprendre la main et trouver vos stratégies pour tenir votre concentration plus longtemps.
Solution pour les dys
Votre enfant souffre de troubles de l’apprentissage ? Vous êtes à la recherche de solution pour les dys ?
Quelle solution pour les dys : dyslexie, dyscalculie, dysorthographie, dysgraphie?
Le neurofeedback est une approche complémentaire aux suivis classiques des solutions pour les dys. Avec le neurofeedback, le cerveau de votre enfant va fonctionner au mieux de ses capacités. Cela lui permettra d’être plus réceptif à tous les types d’apprentissages et de mieux les intégrer. Le neurofeedback est la solution pour les dys complémentaire et efficace.
Comment fonctionne le neurofeedback?
Face à un écran, vous regardez et écoutez des vidéos avec des capteurs apposés sur votre cuir chevelu et vos oreilles. Comme le stéthoscope qui permet l’écoute interne du corps, les capteurs vont enregistrer l’activité électrique de votre cerveau en temps réel.
Ces informations vont être traitées directement par un logiciel très puissant afin de vous renvoyer un feedback sur cette activité. Si cette activité ne correspond pas à vos objectifs (gérer le TDA/H sans médicament, tenir sa concentration plus longtemps, solution pour les dys), la musique et la vidéo se coupent.
Grâce à ce feedback auditif et visuel, vous allez consciemment mettre en place des stratégies pour éviter les coupures. Cette observation sur vous-même vous permet d’apprendre à mieux vous connaitre.
Ce feedback est aussi une information pertinente pour votre cerveau qui va chercher des nouvelles voies neuronales pour éviter les coupures et être récompensé.
Ce n’est pas une « méthode miracle », pour obtenir des résultats, la répétition est essentielle. Il s’agit d’un apprentissage.
Il est important d’être accompagné tout au long de l’entrainement cérébral et de recevoir un feedback sur les séances pour gérer le TDA/H sans médicament, tenir sa concentration plus longtemps, avoir une solution pour les dys.
Questions fréquemment posées
Il est possible de faire un entrainement en neurofeedback avec des jeunes enfants. Dans ma pratique, les plus jeunes enfants ont environ 6 ans.
Il n’y a pas de limites d’âge pour réveiller son potentiel et pratiquer du neurofeedback. En effet, on sait aujourd’hui, grâce à l’une des découvertes les plus importantes des neurosciences, que la plasticité cérébrale est présente durant toute la vie.
Suivant la littérature scientifique, il faut prévoir entre 25 et 35 séances chez l’adulte et 35 à 45 séances chez l’enfant pour obtenir des résultats durables.
Chaque personne est unique. Aussi, il est primordial de débuter par une évaluation initiale qui permet de donner un pronostic sur l’impact du neurofeedback pour atteindre les objectifs ciblés et d’affiner l’estimation du nombre de séances nécessaires pour les obtenir.
Oui. Un entrainement en neurofeedback est plus long pour les enfants (5 à 10 séances en plus). Le cerveau des enfants est dans une période d’immense plasticité. Cependant, il faut un peu plus de temps pour activer des nouveaux apprentissages correspondant à leurs difficultés.
Selon les données de la littérature scientifique et mes observations, il faut environ de 8 à 12 séances pour obtenir des résultats significatifs. Cette estimation est toutefois relative car il arrive souvent que des améliorations soient constatées après quelques séances seulement, notamment par le simple fait que la personne ait décidé de s’attaquer à sa problématique.
Parfois on ressent de la fatigue et des maux de tête passagers pendant ou après la séance. Ils apparaissent surtout lors des premières séances, conséquences, bien souvent, du stress occasionné par la nouveauté.
Je débute toujours un entrainement en neurofeedback avec une évaluation initiale sur base d’un EEGq. Cette évaluation permet de donner un pronostic sur les chances de réussite de l’entrainement cérébral. Ce pronostic peut être soit : incertain, moyen, bon.
Cette évaluation est également une base objectivable pour mesurer les impacts de l’entrainement et réaliser un avant/après.
Cette étape est importante parce qu’elle permet de donner un pronostic (incertain, moyen, bon) sur l’impact du neurofeedback pour atteindre vos objectifs et d’estimer un nombre de séances nécessaires pour les obtenir.
Pratiquement, lors de la première rencontre, nous dressons un état des lieux de votre situation actuelle et de vos objectifs. Nous réalisons également un encéphalogramme quantitatif (EEGq). La séance dure environ 1h15.
Comme un entrainement sportif, l’entrainement en neurofeedback comporte plusieurs étapes :
- Evaluation initiale: Dresser vos objectifs et réaliser un EEGq.
- Phase de normalisation: Amorcer la normalisation de l’activité cérébrale. Cette phase est la plus longue, 12 à 18 séances sont en moyenne nécessaires.
=> Réalisation d’un EEGq pour mettre en évidence les apports de cette phase de normalisation. - Phase de généralisation: Généraliser les acquis et réaliser des sessions de transfert (càd : tâches à réaliser en ne regardant plus l’écran comme des mots croisés, devoirs, jeux…). Cette phase est plus courte. Elle comporte entre 8 et 12 séances avant de procéder au 3ème EEGq pour contrôler les avancées.
=> Réalisation d’un EEGq. - Phase de stabilisation: Stabiliser les acquis et finaliser l’entrainement. Cette dernière étape est la plus courte. Entre 5 et 10 séances sont nécessaires.
- Après l’arrêt de l’entraînement, dans la grande majorité des cas, les cerveaux entraînés continuent à évoluer positivement (phase de consolidation). Un EEGq peut être réalisé 6 mois après la fin de l’entraînement pour contrôler cette phase à votre demande. Cette évaluation vous est offerte.
L’électroencéphalogramme est une technique passive d’enregistrement de l’activité électrique du cerveau. « Passive » signifie que l’EEG n’introduit rien dans le cerveau de la personne mesurée ; cela est l’équivalent d’un stéthoscope pour l’activité du cerveau. Des électrodes sont apposées sur le cuir chevelu à l’aide d’une pâte conductrice (Ten-20), après que la peau soit nettoyée à l’aide d’un gel (NuPrep) exfoliant. La lecture de l’EEG à des fins diagnostics est un acte réservé et ne peut être fait que par un neurologue ou une personne dûment qualifiée et licenciée. C’est pourquoi dans le cadre d’un suivi en neurofeedback, seul un EEG quantitatif est réalisé. Aucun diagnostic n’est réalisé.
Non. Ni une séance de neurofeedback ni un EEGq ne fait mal.
C’est une méthode non-invasive. Rien n’est jamais introduit dans le cerveau, il n’y a pas de chocs électriques. Je vais apposer des capteurs sur le cuir chevelu avec une pâte conductrice, après que la peau ait été nettoyée à l’aide d’un gel exfoliant. Ces capteurs vont capter l’activité électrique du cerveau (microvolt) et renvoyer l’information à l’ordinateur qui va mémoriser ces informations.
Des capteurs sont également placés sur les oreilles. Certaines personnes peuvent ressentir une gêne lorsque ces capteurs sont placés sur les oreilles. Soit la gêne va vite passer, soit je vais déplacer les capteurs.
Vous restez maître de votre cerveau tout au long de l’entrainement. La technologie n’est qu’un outil pour apprendre à mieux vous connaître et réveiller votre potentiel. On peut prendre la métaphore de la voiture et de son conducteur. La voiture vous permet de vous déplacer mais elle va toujours là où vous le souhaitez.
Oui et non. Oui, cette méthode peut-être utilisée dans un cadre thérapeutique.
Non, il ne faut pas avoir un trouble pour utiliser cette méthode. De nombreuses personnes entament un entrainement en neurofeedback pour améliorer leurs performances : pour apprendre une nouvelle langue, améliorer leur mémoire, etc…
Oui. Le neurofeedback ne vise que l’activité électrique de votre cerveau. Les médicaments agissent sur les composantes chimiques du cerveau. Aussi, il n’y a pas d’incompatibilités. Cependant, si vous suivez un traitement (par exemple : antidépresseurs, psychostimulants, somnifères…), le mieux est que votre médecin traitant soit informé de votre entrainement en neurofeedback afin qu’il puisse adapter, si nécessaire, votre médication.
Bien souvent, le neurofeedback peut vous aider à diminuer la dose ou arrêter votre médication. Seul votre médecin traitant peut ajuster votre médication.
Comme pour tout entrainement et apprentissage, la répétition est nécessaire pour que de nouveaux circuits neuronaux se construisent et/ou se renforcent. Il est recommandé de s’entraîner 2 à 3 fois par semaine. Il faut un temps de repos entre 2 séances de minimum de 24 heures.
Tout d’abord, on débute par une phase d’accueil et d’écoute sur votre état du moment. Je vais vous placer les capteurs sur le cuir chevelu et vos oreilles. Et voilà, tout est prêt pour commencer l’entrainement. Vous regardez une vidéo et vous écoutez de la musique. Plusieurs sessions sont réalisées. Chacune avec des objectifs spécifiques en fonction de vos besoins. En fonction de votre objectif et d’où vous en êtes dans l’entrainement, vous réalisez des petits exercices de mémorisation, de calcul et d’observation. Une séance de neurofeedback dure 45 minutes.
Essayer de venir à la séance bien reposé. La consommation de caféine et d’alcool ont des effets sur votre activité cérébrale. Pour optimiser votre séance, il est conseillé de limiter leur consommation 6 heures avant.
Cette méthode a été découverte en 1973, aux USA, par un chercheur en recherche fondamentale de l’Université de Los Angeles, Barry Sterman, travaillant avec des chats sur un projet en collaboration avec la NASA.